Depuis plusieurs mois maintenant, le sujet enflamme les débats. Le 8 juin dernier, la Fédération Française des Motards en Colère s’était réunie avec la Direction Générale de l’ Énergie et du Climat afin de se pencher sur cette question.
L’objectif était de construire un dossier à soumettre à l’Union européenne, expliquant l’intégralité des mesures prises sur la période de 2016 à 2020 pour réduire le taux d’accidentalité en 2RM. Malheureusement, ces données ont été jugées insuffisantes par la Commission Européenne De plus, la pression de l’UE pose de fortes contraintes aux pays qui ne mettrais pas en application le CT (sous-entendu des amendes corsées). Cela rend ainsi compliqué l’abandon le principe du CT moto en France. La FFMC dénonce :« La mise en place d’un CT moto est donc conduite majoritairement par la pression de l’Europe, et l’intime conviction, qui n’est étayée par aucune étude coût-bénéfice, de la Direction générale de l’énergie et du climat. » Cette mise en place du CT moto serait limitée aux contrôles, visuel (comprenant le check d’éléments relatifs à l’éclairage, aux pneus ainsi qu’aux freins) de pollution et sonore. Vraisemblablement trop tard pour l’année qui vient, la mise en place du CT moto se fera à partir de 2023. Suite au prochain épisode ?