Découvrez à travers cette interview , le portrait d’un vrai passionné de deux-roues. Convaincu de la force du concept Doc’Biker, la reconversion de Thomas apparaît comme une évidence : faire de sa passion, un business rentable.

  • L’équipe du Doc’ : Bonjour Thomas, pourrais-tu te présenter en quelques mots ?
  • Thomas Boutillier : Je m’appelle Thomas Boutillier, j’ai 34 ans et je suis le gérant du Doc’Biker qui se situe à Nantes.
  • LEDD :  Depuis combien de temps es-tu franchisé du réseau Doc’Biker ?
  • TB : Ça fait 5 ans que j’ai intégré la franchise Doc’Biker.
  • LEDD : Pourquoi as-tu choisi Doc’Biker pour lancer ton business ?
  • TB : J’ai choisi Doc’Biker parce qu’il s’agit d’un concept engagé avec du savoir-faire. J’étais dans une vraie reconversion professionnelle, je travaillais à l’usine comme tourneur-fraiseur. Je n’avais pas beaucoup d’expérience dans le métier de la mécanique. C’est la franchise Doc’Biker qui m’a apporté de l’assurance dans mes nouvelles missions.
  • LEDD :  Comment as-tu connu l’enseigne ?
  • TB : J’ai découvert cette franchise sur le web, plus précisément par le biais de l’observatoire de la franchise.
  • LEDD :  Ce qui te plaît chez Doc’Biker ?
  • TB : À titre personnel, je pense que ce qui me plaît le plus, c’est surtout le fait que les journées se suivent et surtout qu’elles ne se ressemblent pas ! Du point de vue du concept plus généralement c’est la clarté dans la tarification et la force du réseau qui est un gros atout.

 

  • LEDD :  Qu’est ce qui te plaît dans le métier de responsable de centre ?
  • TB : C’est le tout qui me plaît, le fait que j’ai énormément de polyvalence : d’être technicien, gestionnaire, manager, vendeur. Je touche à tout.
  •  LEDD : Si tu devais décrire Doc’Biker en 3 mots.
  • TB : Je dirais rapide, efficace et professionnel.
  • LEDD : Une anecdote sympa à nous raconter qui t’est arrivée en centre ?
  • TB : Je me souviens d’un Anglais en road trip pour aller en Espagne de passage à Nantes avec une SUNBEAM S8, une moto incroyable qui date des années 1950. C’est la première fois que je voyais ce modèle.  Il était en panne de batterie, malheureusement il s’agissait d’une batterie en 6 Volts. Nous avons dû acheter la batterie chez un spécialiste de la pile et de la batterie parce que nous n’avions pas ce genre de modèle en stock.  En 2 heures le client reprenait la route.

Publié le 30/09/2021

Ayaha Benzaoui

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